Il est important et essentiel de prendre conscience de notre fonctionnement, de comprendre que "notre cerveau est la centrale de commande" de toute notre structure exclusivement programmée pour un concept biologique de "survie ". Cette centrale : - commande tous les automatismes Le mal-être résulte du même mécanisme inconscient. La maladie ou "le mal à dit " ou "l'âme à dit" constitue l’expression biologique : - d’un surstress oublié (pouvant être ravivé dans l’inconscient par des situations parfois banales).Le dysfonctionnement est "bio-psychologique". Il résulte de la transposition, par un mécanisme inconscient et difficilement contrôlable, d’une partie du stress psychologique conscient, dans le biologique inconscient. Le mal-être constitue le "langage", l’expression de notre organisme face à une problématique non exprimée, qu’elle soit actuelle et insoluble ou ancienne mais oubliée. Les fonctions biologiques des êtres vivants sont toujours des
fonctions en termes d’avenir. Nous pouvons donc définir avec précision que : " L’important n’est pas le VECU mais le RESSENTI ". Car c’est le ressenti ou l’émotion cristallisée dans le cerveau qui provoque une surtension électrique neurologique. Dans notre cerveau nous pouvons distinguer deux parties : - une partie consciente,Une peur, une émotion pourra faire augmenter la fréquence cardiaque, déclencher un vomissement, une diarrhée ou un évanouissement. Toutes ces fonctions et réactions de l’organisme sont indépendantes de notre volonté consciente. Si nous subissons une émotion brève, prolongée ou obsédante, il apparaît dans le cerveau un phénomène de "surtension électrique". Lors d’une contrariété prolongée, si l’intensité dépasse un certain seuil, il y aura un délestage de l’excès d’énergie dans une région de l’organisme ainsi que la perturbation de certaines fonctions et ceci afin de soulager le cerveau, pour lui éviter de " disjoncter ". (Toujours dans un mécanisme de survie)
Les travaux de chercheurs indépendants ont permis la découverte
et la cartographie :
Leurs découvertes, et nos recherches personnelles, ont permis d’établir une cartographie et une analyse précise des désordres. La prise de conscience des situations conflictuelles, la résolution active et pratique ou leur dépassement permet souvent le rétablissement de l'état d'équilibre. Le constat que nous pouvons faire, face à ces hypothèses de travail est que la phase "de dysfonctionnement " constitue un signal d'alarme afin que nous puissions apporter des solutions d'adaptation au stress. Cette phase évite la détérioration irrémédiable de notre cerveau. " Le mieux être et la réparation des désordres appartient uniquement au consultant ". Elle résulte d’un travail holistique concernant les différentes dimensions de l’individu. A la fois : Mental (prise de conscience des ressentis négatifs) Pour résumer, il est important de retenir :
- Que la pensée n'est qu'une fonction d'information au même titre que la vue ou l'odorat !" Je maintiens la vie à chaque instant " et "je trouve la meilleure solution qui évite la mort immédiate " (le mal-être est un signal d'alarme donnant une solution de survie afin d'éviter que le cerveau ne "disjoncte " sous l'effet de la surtension électrique liée aux émotions des ambiances conflictuelles). - Que le RESSENTI est plus important que le VECU ! - Que l’amélioration appartient uniquement au patient ! |